Nous étions 4 à nous retrouver gare Saint Lazare pour ce départ matinal (le train suivant était  3 heures plus tard).
Le parcours : traversée de Santeuil, longue traversée des champs pour atteindre Marines où nous avons pris le temps de visiter une église (pour une fois , une église ouverte) remarquable par ses 2 fameuses chapelles classées et la cloche la plus ancienne de France puis traversée d’un bois nous montrant ses feuillages dorés, découverte d’une ancienne voie ferrée et poursuite jusqu’à Grisy les Plâtres où nous déjeunons sur les marches de l’église afin de bénéficier d’un beau point de vue. Direction sud pour atteindre les faubourgs de Pontoise, découverte de bassins de rétention à sec puis une longue descente pour atteindre et longer l’Oise avant de finir à la gare. Environ 45% en zones boisées ; nombreuses petites côtes.
Le temps : pluvieux seulement  le matin, du vent, des éclaircies l’après-midi ; moins de passages pluvieux qu’annoncés, une fraîcheur mais pas le froid.
Le paysage : du fait des pluies tombées récemment, les fossés remplis d’eau, les forêts aux couleurs d’automne, des champs de betteraves retournés récemment et pas mal de pousses vertes (quelles plantes ?) et des chemins boueux-glissants.
L’ambiance : comme toujours, elle donne envie de revenir. La surprise du retour : train bloqué 15 minutes du fait de portes bloquées ouvertes  volontairement par des passagers puis réparation des portes forcées.

14 randonneurs du onzième se retrouvaient au point de rendez-vous matinal avenue Dorian près de la place de la Nation pour ce week-end en Touraine.

Après un parcours de 2h30 environ à bord des véhicules conduits par Michel et Pierre, nous profitons des retrouvailles avec nos amis tourangeaux du Tours Capitale Club au Saint-Gerrmain avenue Grammont autour d’une boisson chaude et d’une brioche maison.

Nous débutons ensuite notre balade dans Tours par le boulevard Béranger et son marché aux fleurs et poursuivons vers la Basilique Saint-Martin en y marquant un temps d’arrêt et en passant par sa crypte où se trouve le tombeau de Saint-Martin. Nous continuerons vers la place Plumereau avant de rejoindre le jardin de la Préfecture où nous pique-niquerons. En guise d’apéritif, nous trinquerons au Vouvray pétillant aimablement offert par nos amis tourangeaux.

Le premier rendez-vous de l’après-midi se trouvait à la ferme bio-expérimentale « Fermes d’avenir » située sur les terres du Château de la Bourdaisière à Montlouis sur Loire. La visite sera enrichie par l’explication du maraîcher et de ses différentes méthodes de travail et de culture bio de son terrain.

L’après-midi se poursuivra à Vouvray par une promenade dans le coeur de la ville puis dans ses vignes illustrée par différents panneaux le long du parcours « Raconte-moi Vouvray… ». Une balade de plus d’une heure et d’une longueur d’itinéraire de 5 kilomètres environ… Vient ensuite la visite et la dégustation de Vouvray à la cave du viticulteur Aubert à la Vallée Coquette. Chacun a pu apprécier les vins tranquilles puis les vins pétillants proposés et procéder le cas échéant à quelques achats de cette savoureuse boisson locale.

Nous étions ensuite invités chez Patrick et Danny, membres du Tours Capitale Club, pour une soirée mémorable. A l’entrée de leur domicile figurait un panneau remémorant le partenariat entre le Tours Capitale Club et les Randonneurs du XIème et souhaitant la bienvenue aux marcheurs parisiens. Accueillis dans leur habitation troglodytique et après l’intervention de Yoann et Vincent respectivement Président d’honneur et Président de l’association tourangelle notamment autour de l’écrivain Honoré de Balzac, nous avons pu profiter du buffet dînatoire mais aussi du vin l’accompagnant offert par la famille Gillet. Différentes chansons ont accompagné notre dîner comme celles d’un jeune homme de 95 ans et de sa soeur  « Le Vouvray qui pétille » assistés de Ludovic à l’accordéon ou encore « Avec son pot d’géranium… » Avant de nous quitter, la généreuse famille Gillet a remis une surprise à chacun des participants.

Nous nous sommes ensuite dirigés vers notre hôtel à Tours-Nord. Après le petit-déjeuner du dimanche matin, nous sommes passés par le marché alimentaire Velpeau à Tours où chacun a pu acheter son pique-nique du dimanche midi. Compte tenu du temps improbable et des différentes averses de la matinée, nous sommes finalement retournés à Vouvray pour profiter de l’abri de la cave de la famille Gillet. Un autre événement avait lieu ce dimanche en Touraine et dans le Vouvrillon : le Paris-Tours. Nous sommes donc repartis en tout début d’après-midi vers Tours afin d’éviter tout blocage sur la route. Après un passage par le jardin du Musée des Beaux-Arts, la Cathédrale Saint-Gatien puis la rue Colbert, nous nous sommes dirigés vers le Musée du Compagnonnage où nous attendait un guide conférencier. Nous avons pu apprécier les oeuvres des différents compagnons : boulangers, vanniers, cordiers, bourreliers, selliers, cordonniers, bottiers, serruriers, forgerons…

Chaque participant parisien est unanime : ce fut incontestablement un week-end inoubliable vu l’accueil très chaleureux de nos amis tourangeaux ! Tout le monde est prêt à revenir l’année prochaine dans la cité tourangelle !

Ci-dessous, l’article du week-end dans la presse locale :

https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/les-tourangeaux-de-paris-en-balade?queryId%5Bquery1%5D=57cd2206459a452f008b4594&queryId%5Bquery2%5D=57c95b34479a452f008b459d&page=4&pageId=57da5ce0459a4552008b456a

Une courageuse et un animateur au rendez-vous de la gare du Nord pour cette randonnée de 25 km initialement prévue de Viarmes à L’Isle Adam.

Mais grève à l’appui, le transilien de 8h04 pour Viarmes est annulé et le prochain est annoncé vers 9h30. Après s’être assurés des horaires des trains retour au point d’information, nous décidons d’effectuer la randonnée dans le sens inverse depuis L’Isle Adam où un transilien est proposé pour cette destination à 8h11 toujours au départ de gare du Nord.

La balade se passe pour le mieux avec notamment un passage par la pierre turquaise ; allée couverte située à Saint-Martin-du-Tertre dans le département du Val d’Oise.

Après un fort dénivelé pour atteindre la gare de Viarmes, désillusions à notre arrivée puisque les trains initialement prévus à 15h12 puis 16h12 sont annulés. Nous devrons patienter jusqu’à 16h42 pour rejoindre la capitale…

Bonne surprise, nous étions 12 au départ de cette randonnée.
Beau temps, beaucoup de parties à l’abri de la chaleur, des piqûres de moustiques ; et la promesse de déclivités a été tenue. 4 premiers km en zones boisées avant d’arriver au 1er des 3 châteaux : Breteuil, façade au loin, très long mur que nous longeons à partir d’une entrée de chemin discrète. Arrêt à Senlisse après nous être arrêtés à un haras dont la construction remonte au Moyen-Age et rencontre avec l’expansive maîtresse des lieux, déjeuner (merci à Bernadette pour ses cannelés) dans le jardin de l’église où une fontaine sans l’habituelle pancarte ‘eau non potable’ a permis de recharger les gourdes. Modification du parcours d’origine (sans augmentation de km) pour découvrir la Vallée des Lavoirs dont l’environnement rocheux rappelle la forêt de Fontainebleau ; émerveillement de découvrir le 2ème château : Dampierre, par le haut de la colline, descente pour mieux remonter sur le plateau qui nous amènera à Saint Rémy les Chevreuse. A 2 km de l’arrivée, formation de 2 groupes : le premier, ‘direct à la gare’, le second, ‘montée au 3ème château’ : La Madeleine. La Madeleine a été atteinte, sur les conseils d’un ‘local’, par un long chemin ; à l’arrivée, découverte de l’intérieur d’une cour de château, de ses remparts, de la Maison du Parc et belle vue sur la vallée ; descente jusqu’au pèlerinage à la Ferme de Coubertin. Une belle journée, des randonneurs toujours aussi sympathiques.

Près d’une quinzaine de personnes s’étaient donné rendez-vous avenue Dorian pour le départ de ce week-end de 4 jours en Corrèze. Michel était le conducteur du minibus et Pierre de la voiture suiveuse… Le trajet se déroule pour le mieux et nous retrouvons sur place nos amis Tourangeaux Patrick et Danny qui participent également à la sortie.

L’après-midi est consacrée à la visite d’Uzerches « la perle du Limousin » ; ville où Michel a fait ses études et s’est marié. Nous nous sommes installés ensuite au gîte de Saint Merd de  Lapleau qui n’était autre que l’ancienne école communale du village… Comme à l’époque, garçons et filles seront donc séparés !

Le deuxième jour, nous randonnerons toute la journée sur les sentiers près de Saint Merd de Lapleau avec un kilométrage total de près de 23 km et nous profiterons d’un pique-nique au rocher du Buisatier avec son remarquable point de vue sur les gorges de la Dordogne. Nous descendrons ensuite jusqu’aux jardins de Bardot et passerons par le village de Nougein où nous marquerons un temps d’arrêt afin que Pierre fasse honneur à Marie Claude par un discours de circonstance. Nous regagnerons le gîte où une soirée festive nous attendait en compagnie d’amis Corrèziens.

Nous nous rendrons le 3ème jour à Tulle pour la visite de l’usine de fabrication des célèbres accordéons Maugein. Après le pique-nique de la mi-journée, nous randonnerons le long du canal aux Moines construit par les moines de l’Abbaye d’Aubazine vers le XIIème siècle. Nous visiterons ensuite l’église d’Aubazine puis nous nous rendrons à Albussac pour admirer les cascades de Murel.

La dernière journée fut agrémentée d’une visite sur le marché artisanal de Marcillac la Croisille et un pique nique au bord de son lac. Nous rejoindrons l’après-midi les ardoiseries des Pans de Travassac près de Brive-la-Gaillarde avant de rejoindre la capitale en fin d’après-midi.

4 randonneurs qui découvrent que l’hiver n’est pas fini : traces de glace en début de parcours ; parcours assez plat, orienté nord au sud, uniquement en plaine afin d’éviter la boue. Une lecture de la carte attentive du fait des modifications de marquage par rapport à une carte pas récente (ex : la notion de Gr de pays a disparu), des marques très épisodiques et non continues : une bonne initiation à l’usage de la boussole et à la sollicitation bien utile des ‘locaux’ pour confirmer nos choix. Bonnes conditions météorologiques : ni pluies, ni vents, la couleur du ciel passant du gis au bleu ; quelques passages boueux. En début de parcours, constatation de l’augmentation de l’urbanisation le long du chemin, nous apercevons les tours de contrôle de l’aéroport de Roissy ; matinée marquée par un supplément de 2 km dû à un marquage mal interprété, Saint Witz, traversée des 2 Moussy, déjeuner à Villeneuve à l’abri du vent, descente sur Thieux et Saint-Mesmes, dernier kilomètre le long d’une zone un peu désertique après un nœud routier. En cours de journée : quelques animaux croisés dont un marcassin et de gros oiseaux, quelques kilomètres pavés et un accompagnement visuel et sonore dû aux avions atterrissant et décollant.  Des randonneurs patients lors des hésitations du parcours, lors du supplément kilométrique, conviviaux : que demander de plus !

Nous étions 7 espérant prendre un café à l’arrivée du train à Champagne-sur-Oise : espoir déçu, le café était fermé.
Le parcours initial a été modifié du fait de beaucoup d’entrées donnant sur des chemins et des zones forestières privés, ’interdits’ et utilisables pour la chasse, ce samedi (nombreux coups de fusil entendus). Peu de traces des grands froids et de la pluie des derniers jours : quelques passages boueux, seul le magicien Bernard a su ne salir ni ses chaussures ni son pantalon. Temps gris en début de matinée pour finir par un beau soleil dans l’après-midi, aucune pluie. Le parcours a été assez plat sauf une montée au départ, 2 km de plaine suivie de 6 km en forêt avant de rejoindre le GR (3km de route) qui nous mènera à un sous-bois puis un PR, en plaine, et qui nous fera longer le château de Frouville, village dans lequel nous déjeunerons, au soleil, sur le parc de l’église (un monument, une nouvelle fois, fermé) avec 2 desserts ‘maison’ : madeleines à la bergamote et sablés. Puis, petite côte (la Côte aux Poulets) qui nous a conduit à un plateau accédant à Hédouville dont la sortie nous a propulsés dans une plaine avant de finir par le chemin pris au départ (léger ajout : avons visité une curiosité locale, un polissoir préhistorique) de la randonnée. Surprise à la gare : un champ inondé, témoin des pluies récentes, accueillant des centaines de gros oiseaux (photo jointe). Eau et soleil ont permis à la nature de se développer : plaines verdoyantes. Ce parcours a emprunté plusieurs PR.
Dans le train, en montrant le futur programme qui comporte des jours vides de randonnées, essai de motiver les randonneurs habituels à faire l’essai d’être animateurs (avec une assistance à la demande). Merci aux participants pour cette ambiance si agréable.

Le rendez-vous était donné à 9h15 devant le Parc des Expositions où participants du premier tronçon et nouveaux du second se retrouveront pour parcourir ce deuxième trajet de près de 25 kilomètres depuis la Porte de Versailles jusqu’à la Porte de la Villette.

En empruntant d’abord l’ancienne voie ferrée dite de la Petit Ceinture jusqu’à la Place Balard, nous rejoindrons ensuite le vaste parc André Citroën où nous éviterons la crue du bord de Seine en utilisant un diverticule puis nous longerons plus loin rive droite les installations industrielles du port de Paris après avoir franchi le fleuve par le pont de Garigliano. Une fois enjambé le boulevard périphérique à la porte Saint-Cloud par la passerelle le surplombant, nous passerons près du Parc des Princes, du stade Jean Bouin et de la piscine Molitor avant d’entrer dans le Jardin des Serres d’Auteuil qui se trouve lui-même juste en face Rolland-Garros et traverserons ensuite l’hippodrome d’Auteuil.

Depuis la Porte de Passy jusqu’à la Porte Maillot, nous nous arrêterons à l’extrémité du lac inférieur pour profiter de notre pique-nique. Saucisson de Corrèze, crêpes à la confiture maison de prunes du Lot, café et bonne humeur viendront agrémenter notre pause de la mi-journée. Plus loin, nous avancerons sur la promenade Bernard Lefay où l’on peut trouver différents terrains sportifs sur la dalle du boulevard périphérique avant de regagner la Porte d’Asnières et après avoir quitté le jardin Claire-Motte.

Après la gare du Pont Cardinet, le quartier des Batignolles se métamorphose par ses multiples chantiers. Après être entrés dans le parc Clichy-Batignolles-Martin-Luther-King, nous découvrons la haute tour du tout nouveau Tribunal de Grande Instance ; nouveau phare de l’ouest parisien avant d’atteindre la Porte de Montmartre. Les quatre derniers kilomètres jusqu’à la Porte de la Villette croiseront successivement l’avenue de la Porte de Clignancourt, celle de la Porte des Poissonniers, le boulevard Ney, la rue de la Chapelle, la rue de la Porte d’Aubervilliers avant de prendre le mail Emile-Bollaert et le petit sentier de la « forêt linéaire » et bifurquer sur le canal Saint-Denis avant d’atteindre le parc de la Villette, début de notre ronde.

12 participants se retrouvent au rendez-vous de la Porte de la Villette pour effectuer ce premier tronçon de 25 kilomètres jusqu’à la porte de Versailles sur le tout nouveau GR intitulé « Paris 2024 » créé à l’occasion de la candidature de la ville de Paris pour les Jeux Olympiques de 2024. Cela coïncide également avec les 70 ans du balisage du premier GR sur les bords de Loire et nous envoie un clin d’oeil par rapport aux derniers jeux organisés dans la capitale en 1924.

Le circuit qui permet d’en faire le tour totalise près de 50 kilomètres de trajet.

En traversant squares et jardins tout au long du parcours, nous rejoindrons successivement depuis la Villette, la Porte des Lilas, celle de Montreuil, la Porte Dorée puis celles de Charenton, d’Ivry, de Châtillon avant d’atteindre la Porte de Versailles en fin d’après-midi.

Nous avons pu profiter le midi d’un moment de quiétude au bord du Lac Daumesnil au Bois de Vincennes durant notre pique-nique.

Rendez-vous prochainement pour le second tronçon de 25 kilomètres et boucler ainsi notre   ronde !

Nous étions 6 pour cette randonnée ‘première neige’. A l’arrivée  à Pontchartrain ,aucun café, de même tout au long du parcours: une déception. Plaisir de voir la neige malgré la faible épaisseur de la couche, sol très glissant le matin : une chute avec poignet nécessitant le port d’une orthèse, temps agréable. 5 premiers kilomètres empruntant souvent des voies goudronnées peu fréquentées puis la magie de la forêt blanchie  (une belle montée nous a réchaufés), des confusions pour arriver à Saint Rémy puis pour traverser la ville…mais, heureusement, des ‘locaux’ nous ont utilement renseignés avant de déjeuner au soleil sur une des rives du Grand Etang. Beau temps l’après-midi, après le repas, poursuite par la forêt aux feuillages au sol blanchis, une belle déclivité, l’étang du parcours sportif, la maison de l’ayatollah Komeiny, les restes d’une tour impressionnante à Maurepas, des champs et 3 derniers kilomètres en ‘péri-urbain’. Le parcours serait plus agréable sans les kilomètres sur le goudron au départ et à l’arrivée : un parcours à modifier?

Une erreur : travailler avec des cartes anciennes qui ne tiennent pas compte de la progression de l’urbanisation, une nouvelle fois, merci à l’outil qu’est la boussole ainsi qu’à la précieuse attention-aide des participants. Ambiance plus que sympathique, mixité parfaite (3 femmes, 3 hommes), un temps adapté à la randonnée, rien que des éléments de qualité qui portent à revenir randonner. Merci à nos randonneurs-euses qui se sont levés bien tôt .