De l’eau nous en voulions et bien nous en avons eu. Sous une pluie battante, avec nos parapluies et capes de pluie un petit nombre d’acharnés de balades urbaines par tout temps était au rendez-vous fixé par  Michel. A la sortie du métro rue de la Pompe bien sûr.

Peut on mettre de l’eau dans son vin à Passy ? En tout cas, si l’on ne peut plus prendre les eaux ou participer aux vendanges dans cet ancien village, on peut se désaltérer à la fontaine du square Lamartine. Le retour aux sources. Michel ne nous a pas mentis, il nous a amenés d’abord vers ce petit jardin où une statue d’Alphonse Lamartine nous accueille à l’entrée. Cette statue s’explique par le fait que ce grand poète résida et mourut dans le quartier Avenue Henri Martin.

Arrivés face à la fontaine, Michel nous explique que cette source est alimentée par un puits artésien, eau puisée à 600 mètres de profondeur. Cette eau est très pure et les habitants du quartier viennent remplir leurs bouteilles. Nous avons fait de même.

Nous avons continué dans les rues de Passy. Village rattaché à Paris vers 1860; rues Scheffer, Pétrarque, le cimetière de Passy, sommes passés à proximité  du Trocadéro et descendu la rue Benjamin  Franklin. Michel connaissant bien la capitale, il a le secret des petits passages pittoresques et étroits. Nous voilà maintenant dans le passage des eaux. Au bout de ce passage des eaux et bien l’on parle de vin car nous voici devant l’entrée du Musée du Vin. Passy était connu pour son vin, aujourd’hui seule la rue des vignes rappelle un vignoble fameux qui rivalisait au XVIIIème siècle avec celui de Suresnes. Le vignoble descendait depuis le haut de Passy jusqu’à la Seine.

Après avoir traversé le grand jardin de Passy nous avons atteint l’immense grille ouvrant sur un grand parc. Aujourd’hui la Turquie y a sa représentation diplomatique. Par la petite rue Berton nous sommes arrivés devant la maison de Balzac. D’ici nous avons une belle vue sur la Tour Eiffel.

Rue Raynouard, rue de Boulainvillers, la Maison de Radio France et ensuite la statue de la Liberté offerte par les français de New York nous avait allumés sa torche. Nous étions sur l’ile appellée Allée des cygnes.  A l’autre bout le pont de Bir Hakeim avec ses arches. De nombreux mariés viennent se prendre en photo. Aujourd’hui c’était mariage pluvieux, mariage heureux.

Pour terminer cette visite de Passy Michel nous a conduits sur les lieux du vélodrome d’hiver connu plus populairement comme le Vel’ d’Hiv, haut lieu de compétitions cyclistes avec la fameuse course des six jours de Paris. Edith Piaf, Yvette Horner y furent nommées Reines des six jours. Ce lieu a connu des moments heureux et aussi une page sombre de la capitale y a été inscrite. Une stèle rappelle à nos mémoires qu’en Juillet 1942 près de 13000 juifs,  hommes, femmes et enfants ont été victimes de la rafle du Vél d’Hiv avant leur déportation vers le camp d’Auschwitz-Birkenau.

Dimanche 07 février, aucun déluge annoncé, pourtant peu d’enthousiasme à venir randonner ce jour là, seulement deux courageuses, nous voila partis pour 23 km et pour traverser nos deux forêts à partir de Chaville rive droite. Le ciel gris au départ a vite laissé place au bleu et le soleil a été de la partie, le terrain parfois boueux et glissant, sec par endroits correspond parfaitement au climat actuel. Beaucoup de vététistes, joggers, et randonneurs sur ce circuit proche de Versailles et entouré de Viroflay, Chaville, Ville d’Avray, Sèvres, Meudon, Le Plessis Robinson et Velizy-Villacoublay. Nous passons le long de nombreux étangs et nous arrêtons à l’étang de Trivaux pour pique-niquer au soleil et sur un banc face à l’étang.

Nous repartons dans la forêt de Meudon et un peu plus loin, Françoise trouvant que les rochers sur le bord du chemin faisaient désordre décide de les ré-agencer, ce qu’elle fit avec courage et vigueur, le travail accompli une dernière vérification (photo 2)  et voila le résultat (photo 3), bravo Françoise.

Nous continuons jusqu’à notre point final, la gare de Chaville rive droite ou nous arrivons à 15 h 29, sans avoir reçu une seule goutte de pluie.

Entre Orge et Boëlle.

Nous sommes partis aujourd’hui sur les bords de l’Orge et de  la Boëlle, depuis Epinay sur Orge à Arpajon. Dans une belle région en suivant ces deux rivières.

Etangs, lacs, ponts, et chemins. Le circuit plait à tout le monde. Nous ne nous arrêtons pas. Mais vers 13 heures nous trouvons une petite plage aménagée au bord d’un lac. Une aire de picnic nous attendait. Pourquoi ne pas en profiter ? Mais il fait vite encore froid et en trente minutes le repas est terminée. Nous continuons cette balade toujours près de l’Orge. Vers Longpont nous voyons au loin la basilique et une superbe maison de retraite avec un grand parc. Des chevaux se reposent dans les prés. A Sainte Geneviève je rencontre une amie qui promène son chien. Beaucoup de joggeurs, vélos et promeneurs à cette heure.

L’après midi se passera sous un premier soleil printanier.. Cela fait plaisir.  L’entrée à Arpajon se fait en passant devant le bel Hôtel de Ville continuons vers le centre ville et passons près de la Halle d’Arpajon où depuis de nombreuses années se déroule la foire aux haricots. Tout cela se termine avec un bon café près de la gare en attendant le train.

Excellente journée et merci aux randonneuses participantes et à notre ami Jean Luc.

Quatre volontaires pour cette journée: ils ont été récompensés par un temps idéal ( pas de pluie), leurs chaussures ont subi le test des parties glissantes, le terrain était plat. Arrivée à Tournan en Brie , parcours en plaine jusqu’à Favières où nous attendait un insolite arrêt de bus ( 3 photos jointes) dont l’intérieur décoré, par une équipe locale, nous faisait croire à un appartement: belle réussite!. Quelques kilomètres de persistance dans l’erreur ont suivi: nous avons suivi le GR sur le Nord-Ouest alors que nous cherchions le Nord; ce parcours devenait difficile à comprendre; heureusement, grâce à la perspicacité de mes compagnes et à la rencontre d’habitants locaux , nous avons pu nous localiser pour rejoindre un des points prévus du parcours. En adaptant le parcours ,la distance prévue a été maintenue Quelques kilomètres dans les bois pour nous retrouver au bord de l’étang de Vincennes traversé en son milieu par un chemin forestier; sur ce chemin venté, nous avons déjeuné en ayant la vue des 2 moitiés de l’étang : un grand plaisir! Remontée par la rive opposée où nous avons constaté les dommages occasionnés par les sangliers. Ont suivi  , en forêt, 6 km dont une grande ligne droite de 3km ..avant de finir par la ville et de prendre le train à Roissy-en-Brie. Une belle journée dans la bonne humeur

Rendez-vous était donné ce samedi matin à la gare de l’Est où se sont retrouvés 5 volontaires dont une participante en rando d’essai pour cette boucle depuis la Ferté-sous-Jouarre en Seine et Marne.

La gare de Paris-Est dite aussi gare de l’Est, située dans le Xème arrondissement,  est une autre des six grandes gares terminus parisiennes desservies par le réseau SNCF. Elle fut ouverte en 1849 sous le nom d’embarcadère de Strasbourg par la Compagnie de Paris à Strasbourg. Elle dessert les grandes lignes vers l’est dont la nouvelle région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine et l’international vers l’Allemagne, l’Autriche, et l’Europe centrale. Elle est par ailleurs une plaque tournante du réseau francilien par ses trains Transiliens et celui de la capitale par ses différentes lignes de métro et de bus.

Si la journée de vendredi fut une journée pluvieuse, celle de samedi fut brumeuse le matin et très nuageuse l’après-midi mais finalement sans précipitations. Cette balade de 25 kilomètres empruntant le GR14A puis le GR11A avait pour particularité de présenter un dénivelé positif et négatif de même grandeur (+ – 548 mètres) soit une différence d’altitude nulle…

Nous débutons notre randonnée en bord de Marne où nous pouvons croiser canards, cygnes, cormorans et autres oies sauvages. Nous atteignons un peu plus loin la forêt où nous sommes confrontés à quelques passages boueux avant de traverser Chamigny, différents hameaux du côté du village de Sainte-Aulde, rejoindre Méry-sur-Marne, longer Luzancy puis retrouver la Marne à Reuil-en-Brie et fermer la boucle à la Ferté-sous-Jouarre.

Même si l’animateur avait adopté un rythme de marche soutenu à certains moments du parcours, tous les participant(e)s semblaient ravis de cette marche à la fin de la journée.

La Bièvre rivière de 36 kilomètres qui prend sa source au hameau de Bouviers près de Saint Quentin en Yvelines.  Notre but est de remonter cette rivière jusqu’à Paris. Dans cette première partie,  la Bièvre est totalement à découvert, et nous traverserons la haute vallee depuis la ville nouvelle de St Quentin jusqu’à Massy.

Nous sommes surpris de partir depuis la gare et être en pleine nature en quelques minutes. Les étudiants de l’Université toute proche ont de la chance. La première partie de notre parcours est très étroit, deux versants et une forêt. Bien que nous sommes à quelques kilomètres de la capitale, de charmants petits villages sont traversés par la Bièvre. Tout d’abord nous longerons, le parc des sources de la Bièvre,  le Bois des Roussières,  de la porte neuve. Suivons un grand nombre d’étangs comme ceux des Roussières, du Moulin à Renard, du Val d’Or et de la Geneste. Lieux très beaux, et connus des randonneurs, joggeurs, promeneurs et cyclistes s’y côtoient.

Déjà nous arrivons à Buc, et passons sous l’une des dix neuf arcades de l’aqueduc de Buc  que Louvois fit construire vers 1684 pour amener l’eau depuis le plateau de Saclay vers le parc de Versailles. Toujours dans un écrin de verdure nous voici près du haras de Vauptain. Vers Jouy en Josas une pause pour déjeuner fera la joie de tous.  Assis au bord de la rivière, Michel nous offre le café et du chocolat. Cela nous réchauffera un peu.

Traversée de charmants villages de Vauboyen, de Bièvres et de son lavoir nous suivons toujours la Bièvre jusqu’à Igny. Ah !! cette rivière est bien calme et pas très large. Le Pont Monseigneur et le parc Vilgénis traversés nous continuons par la voie de la vallée de la Bièvre jusqu’à Massy. Fin de notre première partie.

De nombreuses possibilités de belles randonnées dans cette partie des Yvelines, et Essonne. La suite maintenant en Février pour la deuxième partie. De Massy vers le Pont d’Austerlitz.

Michel sait toujours nous faire découvrir des lieux pittoresques  et des rues inconnues des parisiens. Il nous avait préparés tout un circuit depuis le cœur de Paris jusqu’à la place de la République. Le rendez vous était place du Châtelet près de la fontaine de la Victoire construite à l’initiative de Napoléon en 1806 , puis nous nous sommes arrêtés dans le beau square de la Tour Saint Jacques, pour y admirer le  clocher tour de style gothique flamboyant  haut de plus de cinquante mètres, seul vestige de l’église Saint Jacques de la boucherie, dédié à Saint Jacques de Majeur et début d’un grand chemin qui amenait les pèlerins jusqu’à Compostelle.

Après la rue Quincampoix, nous voici devant l’église Saint Merri l’une des plus anciennes églises de Paris, qui reprend le plan de Notre Dame. De magnifiques vitraux rendent cette église très claire. Je vous invite à la visiter. Nous avons continué notre promenade par un petit passage dit Molière entre la rue Quincampoix et Saint Martin, pour ma part je n’y étais jamais passé. De même ensuite par le passage des Gravillers qui nous conduit vers la rue des Vertus où des dames y exerçaient le plus vieux métier au monde.

Continuons vers la rue au Maire, premier quartier asiatique de Paris bien avant le treizième arrondissement. Nous sommes passés ensuite vers le Conservatoire des Arts et Métiers. Par la rue du Verbois nous avons pris ensuite deux nouveaux passages connus que par les habitants du quartier le passage du Pont aux Bîches et Passage Meslay pour arriver enfin Place de la République. Un moment de recueillement devant la plaque rappelant les attentats de ces dernières semaines, de nombreux visiteurs déposent toujours des bougies et fleurs. Michel pour terminer sur une note joyeuse nous a conduit dans le faubourg du Temple pour nous faire visiter l’emplacement du premier cirque permanent à Paris.

Merci Michel pour cette belle visite. Vivement le mois prochain pour la visite Vin et eaux à Passy.

Neuf volontaires, voire téméraires pour ce parcours d’Ozoir-la-Ferrières à Mortcerf, 25 km plein Est, entre ciel délavé et terre détrempée.
Le parcours, principalement sylvestre, traverse des forêts de la Brie, planes au point que le relief le plus marqué était probablement celui de la passerelle qui enjambe les voies ferrées de Mortcerf : forêt d’Armainvilliers de Ferrières puis de Crecy.
Alors que la 1ère et la dernière sont domaniales, la forêt de Ferrières porte les marques d’avoir été propriété de la famille de Rothschild à partir de 1829, la curieuse tour dont la photo est jointe en est probablement un vestige, tout comme le château de Ferrières, hors de notre circuit. Cette forêt de 3000 hectares a été acquise par La Région Ile de France en 1973, elle est maintenant réquisitionnée par l’Office National de la Chasse qui a ceint de grillages l’essentiel de sa surface.
Le parcours comporte aussi plusieurs centres équestres, en particulier à la très belle ferme à colombier entourée de douves des Egrefins, et d’autres fermes remarquables : ferme des Hermières, des trente arpents, gite du Bois Breton qui ravira les amateurs de week-end bottes au pied.
Côté faune, un chevreuil nous croise.
Côté flore, une profusion de bouquets de gui, et, déjà, le flash du jaune des fleurs de genets.
Pique-nique à l’abri de nos équipements. Ensuite, bruine et accalmies alternent.

L’une des dernières randonnées de l’année. Nous sommes huit personnes à se donner rendez vous sur le quai du RER à Nation. En peu de temps nous voici arrivés à Sucy. 10 km de Paris mais déjà la campagne. Pavillons, petits sentiers entre les maisons. Nous passons près d’un lac, quelques cygnes nous saluent. Traversons le Morbras un petit cours d’eau qui sépare Sucy d’Ormesson. Puis nous  entrons dans le beau parc départemental du Morbras. Très bien aménagé pour les joggeurs et les promeneurs qui se rencontrent ici.

A proximité de la commune de Noiseau prenons un sentier qui nous amène vers la forêt Notre Dame. Difficile d’entrer dans cette forêt car de nombreux travaux routiers nous obligent de suivre la RN 19. Enfin passons près du Château de Gros Bois,  deux hippodromes ici c’est un centre d’entraînement des trotteurs.  Enfin nous pénétrons plus en forêt et suivons quelques belles allées. Pause déjeuner méritée. Le thème de la discussion est les avions, car nous ne sommes pas loin des pistes d’Orly et d’un couloir aérien. Un avion toutes les cinq minutes.

Après cette pause, nous continuons notre chemin vers le Château de la Grange, retour ensuite vers Sucy. Au passage nous avons une légère descente vers le château de Gros Bois que l’on voit devant nous. Un exposé sur le château et ses divers propriétaires et le centre pour les trotteurs s’impose?

Excellente journée de randonnée dans la douceur de cette fin d’année. Merci aux participants et à l’année prochaine pour de nouvelles randonnées en Ile de France.

Cinq personnes ce matin au rendez-vous à la gare du Nord pour cette randonnée de Viarmes à l’Isle Adam-Parmain.

La gare du Nord dite aussi Paris-Nord est établie dans le Xème arrondissement. Elle est proche de la gare de l’Est,  située elle aussi dans le Xème, à une distance de moins de deux cents mètres.

La gare du Nord fut ouverte en 1846 par la Compagnie des chemins du Nord en tant qu’ embarcadère de la ligne Paris-Nord à Lille. Elle constitue un carrefour intermodal majeur de la capitale par la coexistence de trains à grande vitesse pour la desserte nationale (TGV) et internationale (Eurostar & Thalys), de trains de grandes lignes (Intercités), de TER, Transilien, RER, métro, bus, taxis & vélib.

Par ailleurs , la gare du Nord est inscrite au titre des Monuments historiques depuis 1975.

Notre marche dans le Val d’Oise débute donc à Viarmes en traversant successivement les villages d’Asnières-sur-Oise puis Noisy-sur-Oise avant d’accéder à la Forêt Domaniale de Carnelle puis un peu plus loin à celle de l’Isle Adam. Après avoir longé Presles par le GR1 emprunté tout au long de notre parcours, nous atteignons d’un bon pas notre destination finale de Parmain en traversant l’Oise.

Notre matinée ponctuée de quelques pauses fut notamment agrémentée de succulentes chouquettes, très appréciées par les marcheuses, en provenance directe de Bulliz, la nouvelle cantine à choux située au 14 rue d’Hauteville dans le Xème.

Une autre note festive embellit notre pique-nique de la mi-journée par la dégustation d’un Vouvray Pétillant fraîchement arrivé de Touraine.

Enfin quelques chocolats en accompagnement de notre boisson chaude nous réconfortèrent au bistrot de la gare du retour.

Après cette journée au coeur de ces forêts et campagnes franciliennes, tout le monde est désormais fin prêt pour aborder les fêtes de fin d’année en toute sérénité !